RGPD EN PERIL : LES FAILLES EXPOSEES PAR 108 ONG

Les sirènes du cyberespace hurlent. Les senseurs s’affolent.

​🤖​ Chers internautes et les amis Cyber-défenseurs,

Un mur de données, d’une puissance inouïe — 6,3 térabits par seconde — s’écrase sur un bastion de la résistance numérique : le blog de Brian Krebs. Ce n’est pas une attaque. C’est une déclaration de guerre. Une démonstration de force brute, signée par un nouvel ennemi, plus vicieux que jamais.

Du côté obscur du réseau, les forces ennemies ne dorment pas. Elles évoluent. Elles apprennent. Désormais, elles ont l’IA de leur côté. Les malwares mutent, deviennent polymorphes, insaisissables. Chaque scan est une illusion. Chaque détecteur est une chimère. Et dans l’ombre, un nom revient : LummaC2. Une infrastructure criminelle distribuée, qui a déjà infecté plus de 10 millions de machines à travers la planète. Son carburant : les données. Sa mission : infiltrer, exploiter, dominer.

Pendant ce temps, sur un autre front, à Bruxelles, une autre bataille se joue : l’Union européenne envisage d’"alléger" le RGPD. Un acte perçu comme un sabordage par les défenseurs des droits numériques. 108 ONG se dressent comme un seul homme. Car affaiblir les défenses réglementaires au moment où l’ennemi frappe… c’est ouvrir les portes de la forteresse de l’intérieur.

Et pourtant, dans la tourmente, une idée naît. La cybersécurité optimiste. Certains stratèges y voient une nouvelle doctrine : anticiper plutôt que subir, protéger par le design, construire une défense systémique et résiliente.

Dans cette transmission, nous vous livrons les rapports de cinq fronts décisifs : Le démantèlement d’un réseau mondial malveillant, un cyber-assaut d’intensité historique, un conflit réglementaire aux implications stratégiques, l’émergence de malwares boostés à l’IA, et la montée en puissance des identités non humaines dans la défense digitale.

Vous pensez tout savoir ?

Attachez vos ceintures, soldat. Ce n’est plus un test. C’est l’heure de se battre pour le futur du cyberespace.

Les grandes lignes :

👉 Le FBI démolit un réseau malveillant à 10 millions d’infections 💣

👉 L’assaut démentiel contre KrebsOnSecurity choque le web 🌐

👉 Le RGPD menacé ? 108 ONG tirent la sonnette d’alarme sur une réforme explosive 🧨

👉L’arme ultime des hackers, ce sont ces malwares dopés à l’IA déjà en action 🤖

👉 Et si la cybersécurité optimiste était la vraie révolution de demain ? 🌈

Si on t’a transféré cette lettre, abonne-toi en cliquant sur ce lien !

🗞️​Vous savez quoi ?

  • Lumma Stealer a été démantelé. Plus de 2 300 domaines de commande et contrôle ont été supprimés. C’est ce qui a permis de mettre fin à une infrastructure qui a permis de voler des données sur plus de 10 millions de machines.

  • Le célèbre blog KrebsOnSecurity a subi une attaque DDoS de 6,3 Tbps, la plus grosse jamais enregistrée sur un média indépendant.  Il s’agit certainement d’un test d’une nouvelle génération de botnet IoT.

  • 108 entités dénoncent la réforme européenne comme une trahison des principes fondateurs du RGPD. Cela pourrait affaiblir la protection des données au profit d’exemptions économiques.

  • Des chercheurs démontrent comment les LLMs peuvent générer des milliers de variantes de codes malveillants indétectables. Cela risque de perturber totalement les antivirus classiques.

  • Une approche émergente en cybersécurité met l’accent sur une gestion proactive des identités non humaines et des secrets numériques. En anticipant les menaces plutôt qu’en y réagissant, cette stratégie vise à renforcer la résilience des organisations face à un environnement numérique de plus en plus complexe.

Learn how to make AI work for you

AI won’t take your job, but a person using AI might. That’s why 1,000,000+ professionals read The Rundown AI – the free newsletter that keeps you updated on the latest AI news and teaches you how to use it in just 5 minutes a day.

🤓​ Vous voulez en savoir plus ?

1️⃣ Le FBI démolit un réseau malveillant à 10 millions d’infections : l’empire Lumma s’effondre

Résumé : Le FBI, Europol et plusieurs partenaires privés ont mené une opération mondiale contre Lumma Stealer, un infostealer vendu en mode MaaS, responsable de 10 millions d’infections. Cette opération a permis la saisie de 2 300 domaines et l’interruption de l’infrastructure C2. Commercialisé via Telegram, Lumma offrait plusieurs niveaux d’abonnement. C’est ce qui a permis aux cybercriminels de personnaliser les malwares et de vendre les données volées. Le développeur principal, alias « Shamel », basé en Russie, proposait même un accès complet au code source pour 20 000 $. Malgré cette victoire, les experts préviennent que le modèle pourrait réapparaître sous une autre forme.

Les détails :

  1. Infrastructure mondiale démantelée : Le réseau comprenait plus de 2 300 domaines C2, utilisés pour contrôler à distance les machines infectées. Ces domaines servaient aussi de plateforme de gestion pour les clients du service. 

  2. Modèle économique sophistiqué : Lumma opérait sur un modèle de Malware-as-a-Service avec des plans tarifaires entre 250 $ à 20 000 $. Les clients peuvent personnaliser le vol de données, gérer les logs et automatiser la distribution.

  3. Obfuscation avancée : Le binaire principal utilisait LLVM, CFF, stack variables massives et obfuscation pour échapper à l’analyse statique. Ce qui pourrait rendre sa détection extrêmement difficile même pour des outils avancés. 

  4. Distribution polymorphe et résiliente : Utilisation de ClickFix, Steam, Telegram et Prometheus pour la redirection de trafic. Ces campagnes qui exploitent Oracle Cloud et Scaleway ont même servi de façades de distribution.

  5. Place de marché intégrée : Les affiliés disposaient d’un système de notation intégré via Telegram pour vendre directement leurs logs. Cela pourrait éliminer les intermédiaires et augmenter la vitesse de monétisation.

Que faut-il en retenir ?

L’opération contre Lumma Stealer marque un succès majeur dans la lutte contre les malwares de type infostealer, mais souligne aussi la résilience du modèle MaaS. La sophistication technique et commerciale de Lumma, couplée à son intégration dans les écosystèmes cloud légitimes, montre que les cybercriminels adoptent des tactiques dignes de PME bien huilées. Ce type de menace impose une réponse coordonnée entre secteurs public et privé, avec une attention croissante à la désactivation proactive des infrastructures avant leur propagation massive.

2️⃣ Attaque DDoS de 6,3 Tbps : l’assaut démentiel contre KrebsOnSecurity choque le web

Résumé : Le blog de cybersécurité KrebsOnSecurity a subi le 12 mai 2025 une attaque DDoS d’une intensité inédite de 6,3 térabits par seconde, la seconde plus puissante jamais enregistrée. Cette offensive, attribuée à un nouveau botnet IoT, semble avoir été un test de puissance plutôt qu’un assaut prolongé. Grâce à Google Project Shield, le site a résisté à la saturation. L’attaque s’inscrit dans une escalade inquiétante qui vise les chercheurs en cybersécurité. Elle souligne la croissance exponentielle des botnets, alimentée par l’insécurité des objets connectés, et préfigure une ère où la dissuasion technologique devient vitale.

Les détails :

  1. Une attaque historique par sa puissance : L’attaque a atteint un pic de 6,3 Tbps. Il s’agit d’un chiffre qui dépasse de loin le record de Mirai en 2016. Elle n’a duré que brièvement, mais son intensité a mis en alerte toute la cyber-communauté.

  2. Un botnet IoT de nouvelle génération : Ce test pourrait annoncer le déploiement prochain d’un botnet inédit basé sur des appareils connectés mal sécurisés, capables de saturer les protections les plus robustes.

  3. Une cible symbolique : Brian Krebs : Journaliste d’investigation reconnu pour ses enquêtes sur les mafias numériques, Krebs est une cible récurrente. L’attaque vise probablement à intimider les acteurs de la lutte contre la cybercriminalité.

  4. Google Project Shield en première ligne : Google a confirmé que c’était la plus grande attaque qu’ils aient jamais traitée. Cela démontre à la fois la montée en puissance des menaces et la capacité croissante des acteurs défensifs à les contrer.

  5. Un message aux défenseurs : Cette opération pose un risque systémique : si un simple blog peut être ciblé par une telle force, qu’en est-il des institutions critiques ? La vigilance, la résilience et l’investissement en défense sont plus que jamais cruciaux.

Que faut-il en retenir ?

Cette attaque contre KrebsOnSecurity ne doit pas être perçue comme un incident isolé, mais comme une démonstration de force destinée à tester la capacité de riposte des défenses modernes. Le message est clair : les cybercriminels disposent désormais de la puissance nécessaire pour frapper fort et vite. Le rôle des hébergeurs, CDN, et solutions comme Project Shield devient central dans cette nouvelle ère de confrontation numérique où chaque seconde compte.

3️⃣ Le RGPD menacé ? 108 ONG tirent la sonnette d’alarme sur une réforme explosive

Résumé : La Commission européenne envisage de simplifier le RGPD pour alléger les obligations des PME, notamment en matière de tenue de registres. Si certains saluent l’initiative, 108 organisations de la société civile, entreprises et chercheurs y voient une menace directe aux principes fondamentaux du règlement. Dans une lettre ouverte, elles dénoncent une approche qui risque de compromettre le mécanisme de responsabilité, le traitement des données sensibles, et l’approche fondée sur les risques. Le spectre d’une dérégulation progressive inquiète, ce qui remet en question la crédibilité du RGPD comme référence mondiale en matière de protection des données.

Les détails :

  1. Un projet de réforme controversé : Le Commissaire Michael McGrath propose une simplification du RGPD pour cibler les obligations des entités de moins de 500 employés. L'objectif est de réduire la complexité administrative sans toucher aux principes fondamentaux. En pratique, le débat est loin d’être apaisé.

  2. Réactions en ordre dispersé : Le CEPS et certains think tanks voient dans la réforme un acte pragmatique. Mais Mozilla, Amnesty, Proton, et Access Now dénoncent un recul et accusent la Commission de céder aux pressions économiques.

  3. Le cœur du problème : la responsabilité : Selon les opposants, la réforme permettrait à certaines entreprises de ne plus documenter le traitement de données sensibles. Ce qui pourrait introduire une exemption fondée sur la taille plutôt que sur le niveau de risque.

  4. Un précédent dangereux : Les signataires craignent une pente glissante : modifier une fois le RGPD ouvrirait la voie à d’autres assouplissements. Cela risque ainsi de vider progressivement le règlement de sa substance.

  5. Un message fort à la Commission : Pour les ONG, le RGPD est un socle de la souveraineté numérique européenne. Toucher à son équilibre pourrait nuire à sa réputation globale et affaiblir sa capacité à encadrer l’économie numérique mondiale.

Que faut-il en retenir ?

Le RGPD n’est pas simplement un texte technique, il incarne la volonté de l’UE de protéger les droits numériques dans un environnement mondialisé. Toute modification, même bénigne en apparence, peut en compromettre l’intégrité. Le débat en cours reflète un dilemme fondamental : faut-il adapter le droit aux réalités économiques ou renforcer les mécanismes pour garantir la protection des citoyens ? Le bras de fer qui s’engage pourrait redéfinir la gouvernance des données à l’échelle européenne, voire mondiale.

4️⃣Malwares boostés à l’IA : l’arme ultime des hackers est déjà parmi nous  

Résumé : L’intelligence artificielle bouleverse l’équilibre cybersécuritaire. Loin des hypothèses futuristes, des campagnes concrètes révèlent déjà l’usage offensif de l’IA pour générer des variantes de malwares indétectables, automatiser l’ingénierie sociale et cloner des voix pour duper les défenses. Des cas comme DeepLocker ou les scams de 37 milliards en Asie du Sud-Est prouvent que les cybercriminels exploitent le machine learning pour contourner les protections traditionnelles. Plus qu’un risque, l’IA est devenue un catalyseur de sophistication pour les attaques. Ce glissement appelle à une réponse urgente : renforcer les modèles défensifs, rééduquer les utilisateurs et adopter une posture de détection comportementale.

Les détails :

  1. Génération massive de variants avec les LLMs : Des chercheurs ont montré qu’avec un simple LLM, il est possible de générer plus de 10 000 scripts JavaScript malveillants différents, dont 88 % échappent aux antivirus standards. Les techniques utilisées incluent renommage, code junk, et réécriture complète sans altération de fonctionnalité.

  2. DeepLocker : malware intelligent par reconnaissance faciale : IBM a présenté un prototype de ransomware camouflé dans une app de visioconférence, qui ne s’active que lorsqu’il reconnaît une cible spécifique. Une personnalisation extrême du déclencheur qui rend l’attaque presque indétectable.

  3. Arnaques IA à grande échelle en Asie : En 2023, les scams alimentés par IA ont coûté jusqu’à 37 milliards $ à l’Asie du Sud-Est. Des deepfakes de voix qui imitent des supérieurs hiérarchiques, des faux rapports gouvernementaux, et des attaques multilingues ont piégé même les plus prudents.

  4. Attaques contre les IA défensives : Des modèles comme l’EPSS peuvent être manipulés en gonflant artificiellement leur score de risque via de faux signaux (tweets, dépôts GitHub vides). Cela pousse les analystes à prioriser de fausses menaces.

  5. Clonage vocal ciblant les institutions américaines : Le FBI a confirmé que des deepfakes vocaux d’officiels US ont été utilisés pour accéder à des comptes sensibles et manipuler des processus financiers. Ces attaques se poursuivent en 2025 pour rendre l’attribution presque impossible.

Que faut-il en retenir ?

L’ère des malwares intelligents est déjà là. Les attaquants utilisent l’IA non seulement pour créer des codes polymorphes à grande échelle, mais aussi pour automatiser des attaques ultra-ciblées. Le brouillage entre codes malveillants et légitimes, rendu possible par les techniques d’IA, remet en question l’efficacité des antivirus traditionnels. Pour survivre, les défenses doivent évoluer : détection comportementale, entraînement adversarial des modèles de sécurité, et apprentissage en continu doivent devenir la norme. Sans cela, les entreprises risquent d’être surclassées par des menaces qui apprennent plus vite qu’elles ne se défendent.

5️⃣ Et si la cybersécurité optimiste était la vraie révolution de demain ?  

Résumé : La cybersécurité entre dans une nouvelle ère : celle de l’optimisme stratégique. Plutôt que de considérer la défense numérique comme une course désespérée contre les menaces, le concept d’« Optimistic Cybersecurity » propose une approche proactive, intégrée, et résolument tournée vers l’innovation. Au cœur de cette vision : la gestion des identités non humaines (NHI) et des secrets. Ces entités machines jouent un rôle clé dans la sécurisation des environnements cloud. Grâce à l'intégration de leur cycle de vie complet dans les politiques de sécurité, les entreprises peuvent non seulement anticiper les failles, mais aussi renforcer leur résilience face à l’imprévisible.

Les détails :

  1. Les identités non humaines, nouvelle frontière défensive : Les NHI sont des entités numériques — services, conteneurs, API — qui interagissent sans intervention humaine. Leur gestion rigoureuse (droits, authentification, décommissionnement) est devenue essentielle pour éviter les dérives internes et les escalades de privilèges.

  2. Secrets management : un pilier oublié : Les secrets (tokens, clés API, certificats) sont souvent mal gérés. L’approche optimiste prône une rotation automatisée, un suivi continu de leur usage, et leur suppression systématique en fin de cycle.

  3. Optimisme ≠ naïveté : L’optimisme ici n’est pas une posture naïve, mais une méthodologie proactive : sécuriser avant d’être attaqué, automatiser les tâches critiques, transformer la contrainte réglementaire en levier d’innovation.

  4. Fusion entre sécurité et innovation : Cette stratégie encourage la collaboration entre équipes sécurité et R&D, permettant une intégration native de la sécurité dans les flux DevOps. Cela améliore la vitesse de développement tout en réduisant les risques.

  5. Vers une résilience organisationnelle : Optimistic Cybersecurity propose une sécurité comme facteur de croissance. Elle permet de répondre plus vite aux incidents, de réduire les coûts opérationnels et de construire une confiance numérique durable.

Que faut-il en retenir ?

L’intégration des NHI et du secret management dans une approche sécuritaire orientée avenir marque une rupture salutaire. Dans un contexte de menaces complexes et volatiles, l’optimisme devient un levier stratégique. Il ne s’agit plus de survivre aux attaques, mais de transformer les architectures numériques pour qu’elles anticipent, absorbent et se rétablissent plus efficacement. Les entreprises prêtes à embrasser cette philosophie proactive seront mieux armées pour naviguer dans la cyber-tempête des prochaines années.

⚙️ Opération sécurité numérique

Chevaux de Troie - les espions numériques que vous invitez sans le savoir

Contrairement aux virus, le cheval de Troie ne se propage pas tout seul, mais doit être exécuté manuellement, souvent via du phishing ou des faux logiciels. Une fois activé, il peut voler des données, ouvrir un accès distant, ou installer d'autres malwares. 

Il en existe de nombreux types : backdoor, bancaire, DDoS, faux antivirus, espion, etc. Leur danger réside dans leur furtivité. Ils peuvent infecter aussi bien ordinateurs que smartphones.

LIEUTENANT AU RAPPORT 🏆

ProjectDiscovery, une étoile montante de la cybersécurité offensive

ProjectDiscovery est une startup américaine spécialisée dans la cybersécurité offensive. Elle développe des outils open source qui  permettent aux équipes de sécurité de détecter et d'exploiter proactivement les vulnérabilités au sein des infrastructures numériques.

Faits marquants : 

En avril 2025, ProjectDiscovery a été couronnée "Startup la plus innovante" lors du prestigieux concours Innovation Sandbox de la conférence RSA (RSAC) 2025. Ce prix, attribué par un jury de leaders de l'industrie, récompense les solutions les plus prometteuses en matière de cybersécurité.

Leur outil phare, Nuclei, est un scanner de vulnérabilités hautement personnalisable qui permet aux professionnels de la sécurité de créer et de partager des modèles de détection. Cette approche collaborative a conduit à la formation d'une communauté active. Ce qui a contribué à l'amélioration continue de l'outil.

Grâce à cette reconnaissance, ProjectDiscovery a attiré l'attention d'investisseurs majeurs et prévoit d'étendre ses opérations à l'international, notamment en Europe et en Asie. Leur succès souligne l'importance croissante des solutions open source dans le paysage de la cybersécurité moderne.

CYBERTRIVIA - LE SAVIEZ-VOUS ? 🤔

Saviez-vous que 76 % des entreprises françaises prévoient d'augmenter leur budget cybersécurité en 2025 ?

Saviez-vous qu’en seulement trois mois (avril à juin 2024), plus de 21 000 annonces de logs volés par le malware Lumma Stealer ont été recensées sur les forums cybercriminels. Cela représente une augmentation de 71,7 % par rapport à la même période en 2023.

Ce pic d’activité démontre non seulement la popularité du modèle Infostealer-as-a-Service, mais aussi l’extrême rentabilité de la revente de données personnelles sur les marchés noirs numériques. Une simple session utilisateur peut valoir plusieurs centaines d’euros selon les plateformes compromises.

🔔​ À votre avis, quelle est la menace la plus sous-estimée en cybersécurité aujourd’hui ?

Connexion ou S'abonner pour participer aux sondages.

👉 Votez et partagez votre point de vue avec la cybercommunauté !

Ne manquez aucune actualité cruciale en matière de cybersécurité ! Abonnez-vous dès maintenant à notre newsletter pour recevoir des analyses approfondies, des conseils d'experts et rester informé des dernières menaces et des solutions pour protéger votre entreprise.  « C'est pour vous tous les nouveaux : je n'ai qu’une seule règle. Tout le monde se bat. Personne se barre ».